Elle existe bien sûr, mais elle est parfois bien cachée.

Derrière l’envie déménager, de changer ceci ou cela, de produire, de faire, de performer, de mieux paraître… pour qu’un beau jour, quand tu te regarderas au travers du regard de l’autre, tu te sentes enfin ‘‘correct-normal-à la hauteur.’’ Ça c’est le chemin long et difficile.

Tu peux aussi voir la paix comme un état d’être – à apprivoiser, à connaître, à essayer de vivre et de ressentir…juste pour le plaisir d’expérimenter.

La paix intérieure a des amis qui peuvent te paraître plus accessible : la légèreté, l’humour, l’attention à l’autre, la bonne humeur, l’appréciation du moment, d’une fleur, d’un tableau, d’un vêtement ou simplement de ton aliment préféré. Tu pourrais aussi la trouver dans un monastère perché sur une montagne du Tibet!

La paix, comme toute chose bien nourrie, se développe.

Et elle n’arrive pas seule. Elle s’accompagne de sourires. Le tien d’abord et celui des autres.

Des relations, adoucies, améliorées, agréables.

Et ta santé alors! Ton corps possède sa propre interprétation de la paix! Et il est fin prêt à t’en donner un aperçu dès que ton esprit la laissera entrer.

La vie qui parle

P.S. : Ne le dis à personne, mais la paix a le béguin pour toi! Et elle sera toujours là, toute proche.

Conduirais-tu ton auto avec les mains de quelqu’un d’autre sur ton volant?

L’idée ne te traverserait même pas l’esprit n’est-ce pas?

Et pourtant quand tu commentes le comportement d’un collègue, d’un patron, d’une entreprise, du gouvernement, d’un ex-associé, d’un ex-conjoint, ou même d’un terroriste, en fait de qui que ce soit… tu lui remets ton pouvoir.

Lequel? Le plus important, le tien!

Au lieu de te demander : «Comment a-t-il bien pu faire une chose pareille?»

Pose-toi plutôt des questions du genre :

«Que puis-je faire pour embellir ma vie?»

 «À quoi ou à qui je pourrais penser pour accroître ma paix intérieure?»

«Qu’est-ce que je pourrais faire maintenant pour me sentir mieux?»

«Jusqu’à quel point je pourrais me sentir en forme?»

«Comment pourrais-je contribuer à cette réunion, à cette conversation, à cette rencontre?»

 «Comment pourrais profiter davantage de cette extraordinaire opportunité qui m’est offerte de vivre dans un monde pareil où j’ai accès à tant de choses?»

«Jusqu’à quel point puis-je rendre ma vie plus intéressante?»

La vie qui parle

P.S. : Et pour t’encourager, rappelle-toi qu’il a été dit : «Demande et l’on te répondra».

Des parents se sentent coupables de ne pas pouvoir donner toute l’attention-affection qu’ils le voudraient à leurs enfants.

Ton enfant serait content d’avoir un parent qui a plus de temps pour lui. Mais ce dont ton enfant a le plus besoin, c’est d’avoir une personne détendue et enjouée comme parent. La matière première de la culpabilité est puisée à la même source que celle qui produit la paix intérieure. Que préfères-tu offrir à ton enfant? Un sourire ou un reproche?

Cette énergie émotionnelle, tu as le pouvoir de la modifier et d’en faire un vrai cadeau.

La vie qui parle

P.S. : Et il y a une autre bonne nouvelle : la personne qui mérite le plus d’attention-affection de ta part est TOUJOURS avec toi!

Le beau temps est arrivé, entends son appel! Chacun des arbres qui t’entourent a beaucoup à t’offrir.  L’arbre ne te juge pas. Il est – simplement. Des ondes de paix émanent de lui et te sont expressément dédiées. Un cadeau de Pâques inespéré! Lorsqu’il y en a plusieurs, c’est encore mieux. Un remède anti-stress sans pareil.

Oui ils valent le déplacement!

La vie qui parle

P.S : Et n’oublies pas qu’eux aussi, à l’occasion, apprécient un regard allongé, souriant, complice…et un compliment!