Prendre le chemin de la moindre résistance, c’est…

Choisir de faire ressortir le meilleur de ce que tu vois plutôt que de t’attarder à ses lacunes. Une fois installé dans ce sentiment d’appréciation, l’inspiration pour la parole ou l’action la plus appropriée et la plus bénéfique te viendra.

C’est plus facile de s’épanouir dans un monde admirable que d’essayer de le rendre admirable d’abord pour t’épanouir ensuite. Moins essoufflant aussi!

La vie

P-S : En passant, as-tu remarqué le jeu d’ombre et de lumière que la nature t’as offert ce matin, alors que le soleil n’illuminait encore que la cime givrée des arbres? Spectaculaire n’est-ce pas?

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​Ce n’est pas facile d’entendre…

«Tu es le créateur de ta propre réalité.»

Plusieurs réagissent automatiquement en disant : «Non merci! Je ne crois pas, si c’était le cas, je ne me serais pas amené ce problème-ci, ni celui-là!»

Réaction compréhensible, mais il faut savoir comment on crée sa réalité.

C’est par ton attention qu’une chose prend de l’expansion dans ta vie. À chaque fois que tu penses à ton problème, que tu en parles, que tu l’expliques avec force détails, que tu t’en sers pour justifier ta mauvaise humeur, etc…tu renouvelles ta relation avec lui.

Et, tu le renforces. Oui toi!

La vie

P.S. : Si tu te reconnais, change de poste!

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Quand on parle de lâcher-prise…

Il ne s’agit pas de faire comme si le problème n’existait pas. L’idée est de laisser aller l’attachement au problème, la résistance. Parce que c’est la résistance qui le retient.

Par exemple, votre enfant a été victime d’intimidation à l’école. Évidemment il n’est pas question de faire comme si rien ne s’était passé. L’idéal est d’avoir un échange sincère avec votre enfant afin de lui permettre de gérer ses émotions reliées à l’incident. Ce qui signifie d’abord de les reconnaître et de les exprimer. Dans ce cas, ça pourrait être l’inquiétude, le stress, la peur, le sentiment d’injustice ou d’impuissance, la colère, le ressentiment… Avec cette attitude : «Voilà ce que je sens à l’intérieur de moi, je vais ressentir cette peine, la vivre, puis la laisser passer…»

Ensuite vous l’aider à lâcher-prise sur ces émotions négatives et à retrouver une position saine et équilibrée, en faisant ressortir le courage dont il a fait preuve en mettant la direction de l’école au courant.

Rien n’arrive par hasard. Faire l’expérience d’un tel événement est peut-être l’apprentissage dont votre enfant avait besoin pour s’assumer avec plus d’assurance dans le futur. En tant que parent, vous avez aussi une opportunité de grandir. Vous ne cédez pas à la panique, vous êtes son point d’appui.

La vie

P-S. : À long terme, tout le monde y gagne, y compris l’agresseur.

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Les cycles sont naturels

Les saisons et les humeurs changeantes de la nature, tu les acceptes facilement n’est-ce pas? Sachant qu’elles sont éphémères.

Si tu considérais aussi les creux de ta vie (maladies, déboires financiers et autres difficultés) comme normaux, comme faisant partie de toute aventure terrestre? Sans te rebeller. Sans y résister. C’est cette tendance à vouloir les contrôler, de te battre jusqu’au bout qui les prolongent.

Mais la vie n’est pas censée être une lutte.

Le lâcher-prise, c’est quand tu laisses aller cette habitude de vouloir te montrer le plus fort. Quand un problème sent qu’il ne t’intéresse plus, quand tu ne t’offusques plus, alors il ‘‘fait des pistes’’!

Tu n’es pas ici pour remporter une épreuve.

La vie

P-S. : Tu le savais? Alors relaxe et souris-moi!

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