Tu disposes de deux monnaies d’échange

La première est celle que tu transportes sur toi. Elle pourvoit à ton confort matériel, mais elle est limitée. L’autre – tout aussi réelle – est celle que tu transportes en  toi.

La plupart des gens consacrent beaucoup plus de temps à gérer la première que la deuxième. Et pourtant, rien ne peut se comparer aux richesses que la monnaie invisible de la Vie peut t’apporter.

Elle s’échange sur les marchés de la pensée volontaire, claire et libre, soutenue par des paroles bienveillantes, pleines d’appréciation et d’encouragement. Tu peux l’investir en toi et en les autres en même temps. Tu peux également la faire fructifier grâce à tes intentions nobles, ton optimisme et ton imagination fertile. Non seulement est-elle inépuisable, mais elle se multiplie à mesure que tu l’utilises.

 

La vie

P-S : Savais-tu que tu étais si riche?

0

Accepte d’emblée ton passé

Le conditionnement que tu as reçu et les croyances qui en ont résulté, ont généré en toi toutes sortes de craintes. Or, tu attires à toi tout ce dont tu as peur. Tu pourrais donc haïr ce conditionnement qui te cause tant de problèmes.

Mais la vie est ainsi faite parce qu’il y a un avantage : faire face à tes peurs te permet de les dépasser. C’est en fait le processus normal d’évolution de tout être humain.

Dans cet optique, il te serait bénéfique non pas de rejeter ton ‘‘conditionnement’’ mais plutôt, de te réconcilier avec. Il n’existe pas de chemin sans détours ou sans obstacles (si tu ne le crois pas, va te promener à Montréal…)

Même si au quotidien ça peut te créer des situations inconfortables et parfois de grands défis, ce n’est pas inutile. De plus, puis-je te rappeler que c’est toi qui a choisi tes parents et ton lieu de naissance? Donc la culture et le contexte social également. Tout cela dans le but de faire émerger en toi de nouvelles forces. Tout ce qui t’arrives de travers, t’arrive à toi spécifiquement, parce que TU as ce qu’il faut pour le redresser.

La vie

P-S : Maladies, chutes et bobos de toutes sortes font partie du jeu. Surtout ne te sens jamais coupable devant un problème. 

0

​Donne-toi le bénéfice du doute

Le jugement le plus sévère et le plus dommageable qui soit est celui que l’on s’impose à soi-même. Avec le temps il engendre d’autres émotions négatives plus ou moins conscientes qui s’accumulent. Inévitablement, ces dernières finissent par s’exprimer en devenant la cause de tous nos comportements inadéquats et éventuellement de malaises physiques.

 

Une émotion est une forme d’énergie. Et l’énergie n’est pas statique mais toujours en mouvement. Il est donc possible de modifier ou de diminuer une émotion négative. Du coup on peut déraciner ou du moins affaiblir la cause profonde d’une mauvaise habitude. C’est un travail intérieur – qui peut sembler très difficile à certains moments – mais dont tu as la capacité.

 

Quand tu te sens mal, fais tout ce que tu peux pour te sentir mieux.

Accroche-toi à toute pensée, tout geste, toute idée ou parole qui peut contribuer à ton bien-être.

 

La vie

P-S : Dans ce monde, c’est ton univers émotionnel qui compte!

0

Un être cher à découvrir

Il est inutile d’essayer d’imiter qui que ce soit.

Tu ne peux qu’être toi-même.

Mais chercher à découvrir  cette personne joviale, sensible, consciencieuse et généreuse que tu es vraiment.

Sois à l’écoute de toi, de ton corps, de tes préférences, de ton intuition et choisis la meilleure idée qui te traverse l’esprit.

Présenter au monde ce que tu as de mieux à offrir

c’est tout ce que la vie attend de toi pour te sourire à son tour.

La vie

P-S : Et tu sais, la satisfaction personnelle, ça se cultive!

0

Tes mains ne sont pas limitées dans ton imagination

De l’activité, des choses à faire, tu en as plein les bras.

Tu te demandes bien comment tu pourrais en faire plus.

Mais j’ai une bonne nouvelle pour toi : pour obtenir davantage de la vie, tu n’as pas à te servir de tes mains – déjà occupées – mais de ton imagination.

C’est dans l’imagination que toute création commence.

En répondant d’abord à des questions du genre :

«Qu’est-ce ce que je veux?» «Qu’est-ce qui me rendrait plus heureux?» «Comment je me sentirais si j’avais développé ceci ou si j’avais accompli cela?» «Qu’est-ce que j’aime vraiment?»

La vie

P-S : Et aussi : «Qu’est-ce que j’attends?»

0