Lorsque tu ne te sens pas bien, peu importe la raison derrière ta tristesse, ta déception ou ton ressentiment, ne passe pas trop de temps à te justifier. Si tu tiens à t’exprimer, fais-le succinctement et avec un but en tête celui de préciser ce que tu aurais préféré. Ne t’étends pas en long et en large sur les raisons que tu as de te sentir mal – parce que cette formule ne fonctionne pas – ça ne fait qu’augmenter la probabilité de revivre une situation semblable.
Si tu tiens vraiment à en parler, alors 15 à 20 secondes pour identifier-nommer la situation qui cause ton malaise est suffisant. Mais tu peux décrire en détails aussi longtemps que tu veux le changement que tu souhaites.
Tu as le choix entre fournir des explications sur ton malheur et l’étirer en longueur ou t’en servir comme tremplin pour clarifier ce que tu veux. Un désir renouvelé, bien ancré, solide et mû par un enthousiasme sincère, est la raison d’être de toute situation négative.
La vie
P-S : Se plaindre est énergivore. Dirige plutôt ton énergie à voir comment tu peux te sentir mieux maintenant!

La maladie, un deuil difficile à traverser ou la précarité financière ne sont pas des signes d’une quelconque faiblesse spirituelle. C’est davantage une occasion pour reconnaître la tendance naturelle du corps à se rétablir et à son énorme potentiel de guérison. Le deuil est peut-être le moment opportun pour se découvrir des forces insoupçonnées. Également, les problèmes financiers ou de tout autre ordre arrivent toujours avec leur solution, même si celle-ci semble parfois bien cachée, il faut y croire.
Ces périodes deviennent moins pénibles à vivre lorsqu’on cesse de se rebeller et de les maudire. Prendre la vie comme elle vient, faire la paix avec ses creux et apprécier tous les cadeaux qu’elle contient te rapprochera de la solution.
La vie
P-S : Tomber ne signifie pas ‘‘régresser’’. Tomber est une suggestion de se relever!

Plus tu seras résolu, confiant et déterminé à propos de ton pouvoir plus tes désirs auront l’espace ou la possibilité de se manifester. Ce n’est pas les autres qui t’empêchent d’obtenir ce que tu veux – même si parfois tu serais prêt à le jurer – c’est une contradiction que tu portes à l’intérieur de toi.
Par exemple, tu désires connaître une plus grande prospérité, mais en même temps tu juges décadente la façon dont certaines personnes dépensent leur argent. Tu vises la santé et la vitalité, mais en même temps tu t’attardes sur des statistiques alarmantes concernant une maladie qui prévaut dans ton groupe d’âge. Tu voudrais plus d’harmonie dans tes relations tout en attendant avec impatience que «l’autre» s’excuse à propos d’une quelconque chicane.
Sois certain que ton désir, quel qu’il soit, a bel et bien été entendu, reconnu et reçu cinq sur cinq. S’il ne s’est pas montré le bout du nez, c’est dû à une vielle habitude de pensée dont tu n’es peut-être pas conscient. Mais ça viendra! En attendant, ne laisse pas aller ton désir. Au contraire caresse-le, imagine-le et crois-y.
La vie
P-S : Et salue bien bas toutes tes victoires, si petites soient-elles!