Introduction du livre ‘‘The Oxygen Revolution’’
Paru en 2007 aux Éditions HatherleighPress
par le Dr Paul G. Harch et Virginia Mccullough
« Pourquoi quelqu’un avec un doctorat en sciences politiques et économie écrit-il l’introduction d’un livre sur la thérapie hyperbare?
C’est une question facile à répondre. Ce traitement a changé dramatiquement ma vie et celle de certains membres de ma famille.
Quand le directeur du – National Institutes of Health, – Elias A. Zerhouni, M.D., m’a demandé «la mécanique» de la médecine hyperbare, j’ai dit : «C’est simple. Un surplus d’oxygène dans les tissus ne peut que leur être bénéfique.» Que quelque chose d’aussi simple soit ignoré ou sujet à controverse me stupéfie encore.
Pendant dix ans j’ai eu le privilège de servir en tant que membre du personnel qui avait un pouvoir de décision direct sur le budget de la santé des États-Unis. En plus j’étais responsable des politiques à établir au niveau des prisons et l’éducation. Durant ces années j’ai pu écrire la législation qui a servi à instaurer le National Institute of Health (NIH), le Centre national pour les médecines alternatives et complémentaires.
J’avais essayé de trouver de l’aide au NIH pour un membre de ma famille qui avait subi des dommages au cerveau, mais on m’a dit qu’on ne pouvait rien faire. Alors j’ai parlé avec un des meilleurs experts de la nation, Dr George Howard à l’université d’Alabama à Birmingham. Le Dr Howard a mentionné qu’il avait un ami en Nouvelle-Orléans, le Dr Paul Harch, qui avait un énorme succès avec ceux qui souffraient de traumatismes au cerveau avec la thérapie à oxygène hyperbare.
Une lumière s’alluma pour moi. Se pouvait-il que ce soit la réponse à mes prières?
J’ai été si impressionné avec ce que j’ai appris sur les cas que le Dr Harch traitait que j’ai décidé d’amener mon frère, qui souffrait d’un traumatisme crânien, en Nouvelle-Orléans pour un traitement hyperbare.
Mon frère Michael avait subi des dommages au cerveau quand il était âgé d’environ deux semaines. À l’âge de cinq ans il fut diagnostiqué comme étant retardé mentalement. Puis, à l’âge de 44 ans, Michael devint la première personne retardée mentalement traitée par le Dr Harch. Mes yeux s’emplirent de larmes de joie quand j’ai vu la deuxième scanographie du cerveau de mon frère, démontrant la quantité de tissus de son cerveau qu’il avait recouvrée, 44 ans après sa blessure.
Aujourd’hui, l’état de mon frère s’est beaucoup amélioré. Il est capable de lire et d’écrire à un niveau rudimentaire et il peut même faire quelques opérations de mathématiques simples. Trente années passées à la meilleure école pour enfants handicapés mentalement n’avait pu accomplir cela.
Tous ceux que j’ai envoyés voir le Dr. Harch pour des traitements, incluant des membres de ma famille ainsi qu’une femme avec un cerveau sérieusement endommagé qui avait été sauvagement battue et violée lorsqu’elle était jeune fille, ont tous vu leur condition s’améliorer significativement – chaque personne! Donc, lorsque quelqu’un me questionne sur mon expérience avec la médecine hyperbare, je répond simplement que 100% des gens que je connais qui ont été traités pour des dommages au cerveau ont vu une amélioration marquée de leurs symptômes. Ce qui a grandement facilité leur vie, certains même au point de la pleine récupération.
Ce n’est pas une exagération de dire que la médecine hyperbare pourrait créer une révolution dans notre système de santé, même si nous l’utilisions seulement pour des applications neurologiques. Nous pourrions être capable d’empêcher des cellules du cerveau de mourir lors de traumatismes violents. Un seul traitement hyperbare pour une sévère blessure à la tête pourraient dramatiquement en diminuer les séquelles et changer la suite des événements. Pour d’autres, cela pourrait leur permettre d’accéder à des soins de niveau supérieur. À partir d’une incapacité généralisée par exemple, jusqu’à l’habileté d’avaler, de manger, se débrouiller avec de l’aide et interagir. L’amélioration dans la qualité de vie et la réduction du coût des soins seraient significatives.
Statistiquement, ceux qui ont subi une lésion au cerveau sont plus susceptibles d’en subir une autre que ceux qui n’en ont jamais eue. Mais un seul traitement d’oxygénothérapie pourrait modifier ces statistiques en faveur de la personne blessée.
En mai 2002, j’ai invité le Dr Harch à présenter ses recherches sur l’oxygénothérapie dans le traitement des blessures au cerveau devant la ‘‘ U.S. House of Representatives’ Labor, Health & Humains Services’’, et aussi ‘‘ The Education Appropriations Subcommittee’’. Ce qui a conduit à l’actuelle association médicale de l’université Duke.
Le Dr Harch a également témoigné devant le congrès américain à deux reprises subséquemment.
Je travaille depuis des années à promouvoir la médecine hyperbare et je vois cette activité comme faisant partie de mes responsabilités professionnelles. J’ai participé à la fondation de l’Association internationale de médecine hyperbare et j’espère que beaucoup plus d’individus arriveront à connaître le véritable miracle qu’un peu d’oxygène peut créer dans leur vie.
Pour ceux parmi vous qui souffrez, je vous assure qu’il y a peu d’expériences dans la vie aussi formidables que de donner à son cerveau l’opportunité de se régénérer.»
William A. Duncan, BA, MBA, PhD
Senior Vice President, Capitol Hill Consulting Group
Washington, DC